Bref, voyant le tableau, celui de Turner, une marine
sans diode bien que précédée par la river,
cotait parmi et par eux, celui des plus élevés du marché, de quoi ne pas
faire un flop à la vente aux
enchères même s’il y avait Tapi ou un check mais ni blanc,
ni arabe, ni en bois mais peut-être un check raise par un chauve qui sourit, ho quel badman celui-là.
Pour vous dire qu’avant la vente,
j’avais été conseillé par un vieil ami avec qui j’ai fait mes études, dans le
domaine artistique et le plus drôle là dedans, c’est que ce type avait fait les
Beaux-arts, sans toute fois jamais
avoir vraiment apprit l’art du beau.
Mais bon, quand on est riche on peut se payer des études. Alors que moi,
n’ayant pas fait Saint-Cyr, j’ai
plutôt dû cirer des seins pour
pouvoir me payer mes études.
Et puis lorsque j’ai fini les
études et voulu lancer ma carrière, c’est la que j’ai rencontré ce faux-cerf, d’ailleurs fait par un faussaire, oui parce que l’inverse
serait bizarre, enfin je crois, quoi qu’en Art tout est possible. Ce faux-cerf donc, le tableau,
représentait également une faux qui
paraissait drôlement vraie, d’où le
talent de l’artiste pour son hyperréalisme, cette faux donc qui sert à couper l’herbe, en outre sous les pieds des inspecteurs qui
recherchaient depuis longtemps ce faussaire
qui était bien réel, pour toute les
copies de grands tableaux qu’il avait fait et revendu dans le commerce de l’art
et qui circulait un peu partout dans le monde, sans qu’on ne sache où ni quoi.
Bref ! Mon ami m’avait aussi
conseillé d’aller voir ce célèbre photographe
qui pourrait peut-être bien faire la promo de cette vente aux enchères. Je
décidai donc d’aller voir ce photographe, mais arrivant à quelques rues de chez
lui, ma voiture Calle, comme Sophie. Je continuai donc à pieds
(d’œuvre) si je puis dire. Arrivant donc enfin devant chez lui, je m’avançai
vers l’entrée principal et sonna, mais je trouvais hélas porte close, elle était fermée quoi. Je fis
donc le tour pour aller frapper à la porte de derrière, sachant que sa voiture
était là, il devait donc y être aussi. Mais toujours personne ! Puis je
vis une espèce de grand hangar au fond de son jardin et je m’approchai de
celui-ci, puis je frappai et la porte s’entrouvrit, c’était Chuck en personne. Il me demanda ce que
je lui voulais et me rétorqua qu’il n’avait pas le temps et que de toute façon
ça ne l’intéressait pas. C’est alors que Chuck
Close la porte devant moi. Et je repartis, bredouille. Et je finis donc par
me débrouillé sans lui. Heureusement, j’ai pu compter sur l’auteur « des
particules élémentaires » pour attirer du monde à cette soirée très
importante. Et Jed/tait très
impatient de le rencontrer enfin sur un territoire
commun qu’on connaissait comme une carte.
D’ailleurs, un beau panel de
stars était la ce soir. Il y avait entre autre DSK qui baladait ses Deuxpairesd’yeux dans les gorges
profondes des robes noires des demoiselles, contrairement à Gérard Depardieu qui admirait quant à lui les robes
rouges des millésimes Bordelaises. A coté de lui d’ailleurs, se trouvaient
d’autres personnes assises au comptoir, dont un homme qui faisait croitre ses verres ou plutôt ses vers pour charmer une belle demoiselle « Stère »
de son nom, pendant que Christophe
chantait une chanson des Seychelles sur Mahé.
Elle n’avait pas prit l’ascenseur pour
monter « upstairs » comme
disent les américains, enfin l’escalier comme
son nom l’indique encore et avait bien besoin de se désaltérer bien qu’elle ne pratique pas l’haltérophilie. Cet homme (qui n’était pas pilote de course), Drague Stère au bar mais la saoule vite et elle invite donc Fred à se taire, alors qu’au même
moment son air austère se fit sentir
sur son visage. Elle partit donc vite voir Francis Huster qu’elle aperçue non loin d’elle.
Au fond de la salle il y avait
aussi ce scientifique qui faisait de la recherche sur des astres, enfin en outre c’était plutôt le chercheur lui-même qui
était un désastre.
Et comme dans toutes soirées, il
y avait forcément aussi un journaliste et un critique d’art où ce dernier
écrit toujours en vers et contre
tous, ou en vert, en rouge
et contre tous, ou bien en
alexandrin et contre toux, ou alors Envers et contre ses habitants, ou encore en verre en bois et contre tout
matériaux, ou peut-être à
l’envers à l’endroit (en vers
et contre toi), ou enfin en vers les animaux et contre tous les toutous,
enfin, je ne sais plus trop.
Bref, des acteurs de cinéma et
des comiques étaient aussi présents à cette soirée, ainsi que bon nombre de
plasticiens dont Alphonse Allais
encore faire ses jeux de mots monochromés.
Sur une des œuvres, ressemblant
vaguement au Cri de Munch, on pouvait
voir un homme regarder des surfeurs depuis le bord de la plage se boiter comme
des merdes. Il les regarde prendre une vague qu’ils ratent, puis 2, puis 3,
puis 6, puis 9 et à celle d’après c’est lui qui dit vague ou bien 10 vagues,
non divague. Voilà ! Je vais y
arriver. Cette œuvre s’intitule « J’ai Pas-pété à Tahiti, c’est capital ! »
Bref, à la fin de la soirée tout
était vendu, on pouvait donc dire que la vente aux anges chers s’était bien passée !
FIN.
Alexandre Drin d'Envers.
FIN.
Alexandre Drin d'Envers.