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samedi 25 octobre 2014

Le Collectionneur

Versant des arrhes pour son are, il vendit son art pour pouvoir se payer sonar sans toutefois brader César, car il faut le dire, rendons à seize arts ce qui lui appartient ou à part moi et à part thé, oulala ça devient le bas/zar.
Bref, voyant le tableau, celui de Turner, une marine sans diode bien que précédée par la river, cotait parmi et par eux, celui des plus élevés du marché, de quoi ne pas faire un flop à la vente aux enchères même s’il y avait Tapi ou un check mais ni blanc, ni arabe, ni en bois mais peut-être un check raise par un chauve qui sourit, ho quel badman celui-là.
Pour vous dire qu’avant la vente, j’avais été conseillé par un vieil ami avec qui j’ai fait mes études, dans le domaine artistique et le plus drôle là dedans, c’est que ce type avait fait les Beaux-arts, sans toute fois jamais avoir vraiment apprit l’art du beau. Mais bon, quand on est riche on peut se payer des études. Alors que moi, n’ayant pas fait Saint-Cyr, j’ai plutôt dû cirer des seins pour pouvoir me payer mes études.
Et puis lorsque j’ai fini les études et voulu lancer ma carrière, c’est la que j’ai rencontré ce faux-cerf, d’ailleurs fait par un faussaire, oui parce que l’inverse serait bizarre, enfin je crois, quoi qu’en Art tout est possible. Ce faux-cerf donc, le tableau, représentait également une faux qui paraissait drôlement vraie, d’où le talent de l’artiste pour son hyperréalisme, cette faux donc qui sert à couper l’herbe, en outre sous les pieds des inspecteurs qui recherchaient depuis longtemps ce faussaire qui était bien réel, pour toute les copies de grands tableaux qu’il avait fait et revendu dans le commerce de l’art et qui circulait un peu partout dans le monde, sans qu’on ne sache où ni quoi.
Bref ! Mon ami m’avait aussi conseillé d’aller voir ce célèbre photographe qui pourrait peut-être bien faire la promo de cette vente aux enchères. Je décidai donc d’aller voir ce photographe, mais arrivant à quelques rues de chez lui, ma voiture Calle, comme Sophie. Je continuai donc à pieds (d’œuvre) si je puis dire. Arrivant donc enfin devant chez lui, je m’avançai vers l’entrée principal et sonna, mais je trouvais hélas porte close, elle était fermée quoi. Je fis donc le tour pour aller frapper à la porte de derrière, sachant que sa voiture était là, il devait donc y être aussi. Mais toujours personne ! Puis je vis une espèce de grand hangar au fond de son jardin et je m’approchai de celui-ci, puis je frappai et la porte s’entrouvrit, c’était Chuck en personne. Il me demanda ce que je lui voulais et me rétorqua qu’il n’avait pas le temps et que de toute façon ça ne l’intéressait pas. C’est alors que Chuck Close la porte devant moi. Et je repartis, bredouille. Et je finis donc par me débrouillé sans lui. Heureusement, j’ai pu compter sur l’auteur « des particules élémentaires » pour attirer du monde à cette soirée très importante. Et Jed/tait très impatient de le rencontrer enfin sur un territoire commun qu’on connaissait comme une carte.
D’ailleurs, un beau panel de stars était la ce soir. Il y avait entre autre DSK qui baladait ses Deuxpairesd’yeux dans les gorges profondes des robes noires des demoiselles, contrairement à Gérard Depardieu qui admirait quant à lui les robes rouges des millésimes Bordelaises. A coté de lui d’ailleurs, se trouvaient d’autres personnes assises au comptoir, dont un homme qui faisait croitre ses verres ou plutôt ses vers pour charmer une belle demoiselle « Stère » de son nom, pendant que Christophe chantait une chanson des Seychelles sur Mahé. Elle n’avait pas prit l’ascenseur pour monter « upstairs » comme disent les américains, enfin l’escalier comme son nom l’indique encore et avait bien besoin de se désaltérer bien qu’elle ne pratique pas l’haltérophilie. Cet homme (qui n’était pas pilote de course), Drague Stère au bar mais la saoule vite et elle invite donc Fred à se taire, alors qu’au même moment son air austère se fit sentir sur son visage. Elle partit donc vite voir Francis Huster qu’elle aperçue non loin d’elle.
Au fond de la salle il y avait aussi ce scientifique qui faisait de la recherche sur des astres, enfin en outre c’était plutôt le chercheur lui-même qui était un désastre.
Et comme dans toutes soirées, il y avait forcément aussi un journaliste et un critique d’art où ce dernier écrit toujours en vers et contre tous, ou en vert, en rouge et contre tous, ou bien en alexandrin et contre toux, ou alors Envers et contre ses habitants, ou encore en verre en bois et contre tout matériaux, ou peut-être à l’envers à l’endroit (en vers et contre toi), ou enfin en vers les animaux et contre tous les toutous, enfin, je ne sais plus trop.
Bref, des acteurs de cinéma et des comiques étaient aussi présents à cette soirée, ainsi que bon nombre de plasticiens dont Alphonse Allais encore faire ses jeux de mots monochromés.
Sur une des œuvres, ressemblant vaguement au Cri de Munch, on pouvait voir un homme regarder des surfeurs depuis le bord de la plage se boiter comme des merdes. Il les regarde prendre une vague qu’ils ratent, puis 2, puis 3, puis 6, puis 9 et à celle d’après c’est lui qui dit vague ou bien 10 vagues, non divague. Voilà ! Je vais y arriver. Cette œuvre s’intitule « J’ai Pas-pété à Tahiti, c’est capital ! »
Bref, à la fin de la soirée tout était vendu, on pouvait donc dire que la vente aux anges chers s’était bien passée !

FIN.
          Alexandre Drin d'Envers.

jeudi 23 octobre 2014

Dessin Spiderman

Bonjour à toutes et à tous,

Aujourd'hui c'est jeudi, alors c'est le jour du Fan Art, donc voici un petit croquis au crayon papier de Spiderman :


Bug Assassin's Creed III

Bonjour tout le monde !

Aujourd'hui petit post pour partager avec vous un petit moment de bug dans le jeu vidéo "Assassin's Creed 3" où un puma un peu bizarre fait quelque chose, disons ... d'inattendu !

Je vous laisse découvrir ça par vous-même (dans la vidéo ci-dessous) :