Il
était une fois un jeune peintre épris par ses passions : la peinture et la
femme. En effet ses plus beaux modèles étaient les femmes, les peintures, bien
que les femmes aussi en tant que modèles. Un jour il fit la connaissance d'une
belle et jolie jeune fille, un modèle unique en son genre. Très attirante et
bien habillée, le genre tunique. Il voulu la peindre
immédiatement et l’invita dans son atelier. C'est alors, qu'en allant s'installer
pour poser, la jeune fille, Scarlett,
lui demanda s'il ne valait pas mieux
qu'elle garde sa tunique. Par son
excitation, le peintre ne saisie que son dernier mot et lui dit qu'il voulait
d'abord la peindre avant de la ... hummm, bref. Il lui dit qu’il n’avait pas de
valet pour prendre ses vêtements,
donc qu’il valait mieux qu’elle reste habillée, pour le moment. Il arrive très
souvent que les gens payent en nature,
quoiqu'un bon restaurant peut aussi faire l'affaire,
mais vraisemblablement, au bout du compte,
enfin du peintre, pas du comte, ni du
conte, bref au bout de l’histoire
quoi, on comprit qu’il ne voulait pas conclure la même affaire qu’elle. Duc où, au bar, lui aussi alla noyer sa peine avec le baron. Au bout duc
honte, la honte du duc ou de l’archi duc, n’était rien, archi rien, à côté
de celle du peintre. Qui fini d’ailleurs par reprendre sa route, celle de son atelier, mais à pieds, pas
à cheval, car il n’avait plus de selle
pour s’assoir, étant dans le besoin, il l’avait vendu par manque
de fonds
et surtout parce que cette dernière avait finie par lui empêcher d’aller à la selle
pour soulager ses besoins lors de ses grosses commissions, qui par
ailleurs ne touchaient elles non plus, plus le fond, d’ailleurs avant de rentrer il s’arrêta au passage dans épicerie
pour faire ses commissions et acheter
entre autre du sel ainsi que toutes sortes d’épices du riz.
Arrivant enfin chez lui, il trouva sa mère, non pas à Neuilly
mais à la porte de son atelier. Il la fit rentrer et lui Carla de ses problèmes,
il lui dit ce qui n’allait pas quoi. Ne l’entendant point assez fort, elle lui
dit d’Chausser aux moines ou Pluto
la parole car elle ne comprenait rien de ses gémissements et qu’elle n’Allais pas la mordre. Si vous ne suivez
plus, c’est normal ou plutôt Hollande,
car mes nègres écrivent ça dans la cave pendant la nuit et la lumière ne marche
plus (pourvu qu’ils ne se battent pas). Haussant donc la parole, il se retourna
Vermeer
pour lui demander son avis sur une charmante et jolie jeune fille à la perle, pas Bl(e)u et n’Abittan pas à Ara dans le nord comme Ary. C’est alors que sa mère Rio
et fort et partis dans un festival de fous rires. Le peintre ne comprenait pas
ce qui lui prenait de rire ainsi et était choqué, on pouvait même dire qu’il DeVinci
et par son comportement. Ne l’entendant que faire, il regarda alors par
sa fenêtre,
sur
cour et regarda le temps, qui devenait couvert, alors que les
siens n’étaient pas encore mis pour le repas de midi,
comme le pain, bien il avait déjà beaucoup de croûtes trainant ici et
là dans son atelier. Il se demanda alors s'il allait pouvoir peindre en
extérieur sans que le mauvais temps ne pointe le bout de son nez à l'horizon, puis
il vit passer une maghrébine sous sa fenêtre, elle aussi, à demi-voilée,
comme le ciel. Il l’interpella et d’un pas décidé engagea une Convers
à Sion, mais toujours à Paris, bug dans la matrice ? Non je prends
simplement mon pied. Bref. Elle lui dit qu’elle cherchait un travail. Il lui
demanda comment elle s’appelle et elle lui répondit : Laurie. Il rétorqua
en la complimentant et en lui disant que c’est un joli Prénom comme Patrick, « Ben…guigui » :
réfléchissait-elle et d’un Koons lui donna sa Raiponce (oui
c’était une fille très à cheval sur ses positions, pas comme le peintre
puisqu’il se déplace à pied) : « Tu me parais sympathique et je suis
vraiment dans le besoin ». Il lui montra la direction des toilettes, au
cas, on ne sait jamais et se demanda si elle descendait de la cheminée comme le
Père Noël, « B...M... » bafouilla-t-il et après toutes ces éloges, il lui proposa d’aller se
changer dans sa loge en lui disant
qu’il en avait une belle, de loge. Faire des éloges sur sa loge ce n’est pas
donné à tout le monde. Comme elle n’imprimait plus grand chose à ce qu’il lui
racontait, il alla rechercher une Ramette
de papier chez Philippe, débourra le
papier de son cerveau réfléchissant, en ne pensant paradoxalement qu’à la
bourrer.
Elle s’installa et pris la pose. Il alla chercher un grand seau,
comme lui, mais de peinture et se mit à peindre, comme un vrai peintre,
mais sans croute. Bref, il se mit à pied d’œuvre comme on dit, de toute
façon il ne pouvait plus monter à cheval. Après avoir fini de la peindre, il
voulu faire son affaire avec la jeune fille, celle-ci n'étant pas non plus d'accord
comme la précédente, pris ses affaires
et fichue
le champ sur le camp ou plutôt le quand sur le champ, quand ça ?
Immédiatement ! A Paris pas à Caen, bien que son atelier et tout
son camp se trouvait sur un champ. Si vous ne suivez plus, allez
demander à Marcel, il vous
expliquera tout, à cette heure-ci il doit sûrement être au bar, avec son Grand
Verre à la main, ou bien à l'Urinoir, celui vers La
Fontaine, dans ce cas, écoutez le rossignol chanter, car mieux qu'un
dessin, Duchamp on comprend tout. L'affaire
tomba à l'eau, c’était donc fichue comme le turban qu’elle emporta
avec elle. Elle prit ses cliques et lui laissa en revanche ses claques,
une de chaque côté d’ailleurs et n'ayant plus rien à faire, le peintre se mis à
réfléchir. Il s'affaire donc à engager à la place une pros... prochaine candidate,
toujours à Paris et aujourd'hui. Une fois la nouvelle jeune fille
démarchée,
et revenue,
des
marchés, elle négocia son revenue dès le premier jour.
Il lui dit que pour ça il fallait faire au moins deux jours, oui, pour
qu'elle soit revenue le lendemain et toucher son du, sinon ce n'était pas la
peine. La jeune fille était d'accord, marché conclut, conclut-il
avec une grande banane ou plutôt tout sourire, mais dans son atelier,
bien sûr.
Il fini par faire un beau tableau, il faut dire que le
modèle était parfait, aussi parfait qu’il fini enfin par faire son affaire avec
cette dernière, après l’avoir toutefois dument payée, mais casse la tienne, ce
n’est pas grave, car au bout du compte il venda très bien ce tableau ce qui fit
bien ses affaires et de beaux profits.
FIN.
Alexandre Drin d'Envers
Absolument excellent ! J'adore, j'en veux d'autres ! Quel esprit, merci ! Grand merci !
RépondreSupprimerC'est vrai que ça déchire grave ! :-D
RépondreSupprimerMoi aussi j'en veux encore plein d'autres.
Continu comme ça...
C'est vrai que ce travail est vraiment topissime.
RépondreSupprimerC'est littéralement et artistiquement très intéressant comme démarche et production.
Continu comme ça c'est vraiment génial !
On est tous fan, on en veut d'autres.
Merci pour vos encouragements !
RépondreSupprimerC'est très motivant pour la suite et pour poster d'autres articles dans ce genre.
Je tacherai d'en publier d'autres, nom d'un dalmatien...
Merci et à bientôt pour vos prochains commentaires :-)